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LES METHODES DE PRISE DE VUE
Il s'agit par exemple du cas des fleurs de Rhipsalis qui n'ont que 3 à 10mm environ de diamètre ou des détails sur les étamines ou le pistil notamment de fleurs plus grosses. On rentre vraiment ici dans le domaine de la macrophotographie où la taille de l'image sur le capteur est supérieure ou égale à celle de l'objet photographié.
Les problèmes de mise au point, de profondeur de champ et de mesure de la lumière obéissent aux mêmes règles que celles exposées dans le paragraphe précédent de photos de petites fleurs.
Pfeiffera boliviana clone ISI 95-7
ouverture du diaphragme : F/29
temps d'exposition : 1/60s
éclairage : lumière naturelle (soleil) + flash déporté éclairant latéralement de gauche à droite
commentaire : La fleur de gauche a un diamètre d'environ 1cm. C'est la seule qui soit entièrement nette ; l'essentiel de la fleur de droite est net, au milieu et en arrière plan, un bouton ainsi que la tige sont flous, ce qui ne gâche rien car le premier plan des deux fleurs se détache mieux.
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gros plan sur le pistil d'Hylocereus x 'Connie Mayer'
ouverture du diaphragme : F/32
temps d'exposition : 1/60s
éclairage : lumière naturelle (soleil couchant) + flash déporté à gauche de l'appareil photo.
commentaire : l'ensemble du pistil est net et se détache sur les étamines et les pétales qui sont flous.
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