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Dès le 17 novembre soit à peine six jours après le début, je reçus un message plein d’espoir qui me disait :

« Les tiges les plus courtes ou de moyenne longueur se sont comme redressées, j’ai l’impression (au toucher, délicatement) que leur canal central a durci et que leur port s’est relevé. »

« Par contre, pour les plus longs, c’est le flétrissement progressif, puis la chute petit à petit. »

C’est alors que nous comprîmes que nous avions gagné, et que la suite n’était plus qu’une question de temps et de patience.

Entre deux arrosages, le pot absorbait 400 grammes d’eau, haut et bas additionnés ; mon interlocuteur avait largement dépassé et à juste titre, les quantités d’eau que je lui avais conseillées !

Ces vieux hybrides de Schlumbergera truncata et de Schlumbergera russelliana, déjà cultivés en France dans les années 1940 sont d’une résistance extraordinaire, bien supérieure et de loin à celle de l’immense majorité des hybrides modernes qui parfois se dessèchent ou pourrissent subitement sans même que l’on sache parfois exactement pourquoi.


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